Trat au Laos:De Trat, je rejoins la route 3271 puis 3157 jusqu’à Bo Raï à 60 km, vallonnée, agréable, peu fréquentée et peu peuplée, pas loin de la frontière du Cambodge. Je loge au Paradise Inn, quelques bungalows de béton dans une grande cour pour 3,5€ ; balade et baignade à une cascade. Maintenant, plus de touristes. Je suis un peu dérangé la nuit par le manège des travailleuses nocturnes.
Je reprends la route 3157, puis la 3299, aussi vallonnées, longeant un grand barrage réservoir, et rejoins la 317, route de Sa Kéo, très fréquentée, avec un fort vent de face. Les policiers m’arrêtent pour me payer le café. Avant Soi Dao, je prends la 3424 vers l’est pour me rapprocher à nouveau de la frontière cambodgienne. A Wat Saton, je pénètre dans l’enceinte du modeste temple et demande à y planter ma tente sur une grande terrasse herbeuse. Un civil veut m’envoyer ailleurs mais arrive un vieux moine qui accepte et me montre la toilette/douche que je peux utiliser, pas très bien entretenue. Je n’aurai plus aucun contact avec les moines, ils mettent de la musique, très fort, de 18h à 19h, et à partir de 5h du matin. Du coup je pars tôt dans la fraicheur et le vent, les locaux sont frigorifiés !
Je reprends la route 3157, puis la 3299, aussi vallonnées, longeant un grand barrage réservoir, et rejoins la 317, route de Sa Kéo, très fréquentée, avec un fort vent de face. Les policiers m’arrêtent pour me payer le café. Avant Soi Dao, je prends la 3424 vers l’est pour me rapprocher à nouveau de la frontière cambodgienne. A Wat Saton, je pénètre dans l’enceinte du modeste temple et demande à y planter ma tente sur une grande terrasse herbeuse. Un civil veut m’envoyer ailleurs mais arrive un vieux moine qui accepte et me montre la toilette/douche que je peux utiliser, pas très bien entretenue. Je n’aurai plus aucun contact avec les moines, ils mettent de la musique, très fort, de 18h à 19h, et à partir de 5h du matin. Du coup je pars tôt dans la fraicheur et le vent, les locaux sont frigorifiés !
Je traverse des plantations de canne à sucre, hévéas, papayes. Etape à Sa Kéo, puis je vais camper au parc national de Pang Sida un peu plus au nord, qui a peu d’intérêt et où comme souvent les familles thaïs viennent boire et chanter. J’y rencontre quand même Pim et son père, sportifs passionnés de nature, qui m’aident à observer quelques oiseaux.
Puis ce seront Ta Phraya, Nang Rong où je vois quelques farangs (touristes occidentaux), venus visiter les temples khmers bien restaurés du site de Phanum Rong, dont deux voyageurs à vélo , Sangkha, où le seul hôtel, caché dans la campagne, est un hôtel de passe, avec de grandes chambres aux miroirs partout, même au plafond. Les murs sont bien isolés et je dors bien.
Je quitte la highway 24 pour rejoindre la ville de Kantharalak, d’où on peut rejoindre le fameux site khmer de Phréah Vihar que se disputent Thaïlande et Cambodge. Une belle route y mène. De la falaise, superbe vue sur le Cambodge en bas. Le site est vaste, en cours de restauration. On paie deux fois l’entrée, 200 bahts côté thaï et idem côté cambodgien. Les temples sont en cours de restauration, des gosses cambodgiens vendent des cartes postales, jouent, se chamaillent à grands cris, les filles ne sont pas à la fête ! On passe d’un temple à l’autre par des allées de pierres et des escaliers, bordés d’arbres et d’herbes sauvages jaunies par le soleil. Une belle scène du barattage de la mer de lait borde une allée. L’endroit m’émeut et comme souvent sur ces sites, je préfèrerais qu’ils les laissent en l’état de ruines.
Puis ce seront Ta Phraya, Nang Rong où je vois quelques farangs (touristes occidentaux), venus visiter les temples khmers bien restaurés du site de Phanum Rong, dont deux voyageurs à vélo , Sangkha, où le seul hôtel, caché dans la campagne, est un hôtel de passe, avec de grandes chambres aux miroirs partout, même au plafond. Les murs sont bien isolés et je dors bien.
Je quitte la highway 24 pour rejoindre la ville de Kantharalak, d’où on peut rejoindre le fameux site khmer de Phréah Vihar que se disputent Thaïlande et Cambodge. Une belle route y mène. De la falaise, superbe vue sur le Cambodge en bas. Le site est vaste, en cours de restauration. On paie deux fois l’entrée, 200 bahts côté thaï et idem côté cambodgien. Les temples sont en cours de restauration, des gosses cambodgiens vendent des cartes postales, jouent, se chamaillent à grands cris, les filles ne sont pas à la fête ! On passe d’un temple à l’autre par des allées de pierres et des escaliers, bordés d’arbres et d’herbes sauvages jaunies par le soleil. Une belle scène du barattage de la mer de lait borde une allée. L’endroit m’émeut et comme souvent sur ces sites, je préfèrerais qu’ils les laissent en l’état de ruines.
Preah
Vihar
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Bangkok à Koh Chang, Trat au Laos1, Trat au Laos2, sud Laos1, sud laos2,sud Laos3, sud Laos4, sud laos route 18-1, sud laos route 18-2, sud laos Bolovens1, sud Laos Bolovens2, sud laos Bolovens3, Salavan à route 13, Napong à Vientiane1,Napong à Vientiane2, Thaïlande Nong Khaï à Erewan1, Nong Khaï à Erewan2, Nong Khaï à Erewan3, Nong Khaï à Erewan4, Erewan au col des trois pagodes1, Erewan au col des trois pagodes2