Beaucoup de guest-houses ont été construites autour de l'embarcadère, les iles sont très fréquentées par les routards occidentaux. Pas de voitures, que des pistes, ça a l'air plutôt tranquille. J'emprunte un chemin longeant des guest-houses avec bungalow sur pilotis, menant au pont français, qui fait traverser sur Don Khone, ile un peu plus grande que Don Det, et avec pour l'instant un peu moins de guest-houses. Don Det a été appelée par un touriste anglais "a backpacker milking cash cow( touristes vaches à lait)". Je roule par mégarde sur un long serpent vert, qui du coup fait demi-tour. La plupart des guest-houses sont pleines, je trouve un bungalow à 50000 kips à Souksan Guest-house sur Don Khone (droit d'entrée de 9000kips pour l'ile). Pas d'électricité, un générateur tourne seulement le soir. Repas, repos, balades. Une vieille loco française est exhibée, il y avait avant une voie ferrée de 14 km sur l'ile. Une piste mène à un impressionnant groupe de cascades, puis à des gorges avec un fort courant, des petites plages où se sont installés restos et marchands de fruits.
D’une plage plus loin partent des pirogues pour aller observer les dauphins d’eau douce. Je partage un bateau avec un couple suisse (9000kips par bateau de trois), pour une magnifique balade sur ce bras du Mékong, avec quelques rapides, de gros rochers, des berges boisées, le Cambodge tout près.
La pirogue nous arrête près d’un piton rocheux encore libre, l’autre à côté est déjà envahi d’une dizaine de touristes. De là, on scrute les eaux du Mékong au loin qui s’est élargi formant comme un lac que les dauphins traversent. On les devine plus qu’on ne les voit. Peu nombreux, ils seraient en voie d’extinction, la zone est protégée mais les pécheurs ne la respecteraient pas toujours.
Je fais quelques rencontres autour de la guest-house. Une fille me dit que c’est très calme la nuit. Loupé pour cette fois, mariage local à côté et musique à fond toute la nuit ! Ça continue dans la journée. Je passe devant la maison : deux femmes mangent adossées à d’énormes haut-parleurs crachant une musique très forte qui ne semble pas les déranger. Elles sont peut-être déjà sourdes.
La pirogue nous arrête près d’un piton rocheux encore libre, l’autre à côté est déjà envahi d’une dizaine de touristes. De là, on scrute les eaux du Mékong au loin qui s’est élargi formant comme un lac que les dauphins traversent. On les devine plus qu’on ne les voit. Peu nombreux, ils seraient en voie d’extinction, la zone est protégée mais les pécheurs ne la respecteraient pas toujours.
Je fais quelques rencontres autour de la guest-house. Une fille me dit que c’est très calme la nuit. Loupé pour cette fois, mariage local à côté et musique à fond toute la nuit ! Ça continue dans la journée. Je passe devant la maison : deux femmes mangent adossées à d’énormes haut-parleurs crachant une musique très forte qui ne semble pas les déranger. Elles sont peut-être déjà sourdes.
observation des dauphins d'eau douce
Bangkok à Koh Chang, Trat au Laos1, Trat au Laos2, sud Laos1, sud laos2,sud Laos3, sud Laos4, sud laos route 18-1, sud laos route 18-2, sud laos Bolovens1, sud Laos Bolovens2, sud laos Bolovens3, Salavan à route 13, Napong à Vientiane1,Napong à Vientiane2, Thaïlande Nong Khaï à Erewan1, Nong Khaï à Erewan2, Nong Khaï à Erewan3, Nong Khaï à Erewan4, Erewan au col des trois pagodes1, Erewan au col des trois pagodes2
