Je continue nord/nord-ouest en direction de Cifuentès par une bonne route, poussé par un léger vent de sud-ouest. Des étudiants ont été amenés en bus pour participer à l’arrachage des patates, ils sont plus de cent dans le champ !
A l’entrée de Sagua Grande, une usine sucrière tourne encore. Je traverse la ville aux rues bien ordonnées pour pédaler maintenant vers l’ouest en direction de Coralillo et m’arrête vers 16h pour camper dans un champ de canne à sucre. Des trous dans les plans me permettent de monter la tente, j’entends des voies pas loin, mais il est impossible de me voir. Malgré quelques nuages, il fait encore chaud.
Le lendemain, je ferai une petite étape pour dormir à l’hôtel Elguéa vers Coralillo, dans un grand parc, avec piscine, je suis un des rares clients. D’immenses plantations d’ananas bordent la propriété.
A l’entrée de Sagua Grande, une usine sucrière tourne encore. Je traverse la ville aux rues bien ordonnées pour pédaler maintenant vers l’ouest en direction de Coralillo et m’arrête vers 16h pour camper dans un champ de canne à sucre. Des trous dans les plans me permettent de monter la tente, j’entends des voies pas loin, mais il est impossible de me voir. Malgré quelques nuages, il fait encore chaud.
Le lendemain, je ferai une petite étape pour dormir à l’hôtel Elguéa vers Coralillo, dans un grand parc, avec piscine, je suis un des rares clients. D’immenses plantations d’ananas bordent la propriété.
Quand je repars, un feu de broussailles s’est propagé dans les prairies sèches et bloque la circulation. Je parviens quand même à Cardenas, ville pas très sympa, ignorée du guide du routard comme pas mal d’endroits, pour y faire étape. La zone proche de Varadero est plus vivante, avec des industries, et plus de trafic. Je pénètre sur la péninsule touristique, pas trop envahie à cette époque et il y a d’immenses complexes. Je loge au modeste Turquino, école hôtelière avec de grandes chambres pas chères, et un personnel sympa qui doit faire ses preuves. Je visite la péninsule, finalement, c’est pas mal, les plages sont immenses et il n’y a pas la foule que je m’attendais à y voir, les amateurs de tout compris doivent s'étendre sur les plages privées de leurs complexes. Il y a même quelques Cubains.
Je pédale ensuite sur Matanzas par une toute petite route, doublé par des groupes de couraillons par nationalité : Canadiens, Italiens, Français…seuls les Français me saluent. Je constate encore les problèmes d’obésité qui touchent surtout femmes et enfants, peut-être plutôt de la mal-bouffe due aux problèmes économiques.
Je pédale ensuite sur Matanzas par une toute petite route, doublé par des groupes de couraillons par nationalité : Canadiens, Italiens, Français…seuls les Français me saluent. Je constate encore les problèmes d’obésité qui touchent surtout femmes et enfants, peut-être plutôt de la mal-bouffe due aux problèmes économiques.
itinéraire, ouest1, ouest2, ouest3, ouest4, centre-sud1, centre-sud2, est1, est2, est3, est4, est5, est6, est7, centre-nord1, centre-nord2, centre-nord3, centre-nord4, centre-nord5, galerie photos
