retour à Baguio
Voyant des immeubles enfin, je me crois arrivé à Baguio, mais ce ne sont que des faubourgs, et il me faudra encore monter et monter pour enfin arriver dans le centre, exténué après 13 heures de route, et seulement 87 km. Je me paye une bonne chambre à 25 € au Prime, nouvel hôtel, bien mieux que le vieux Benguet Pines. Et une bonne pizza.
Je passe quelques jours à Baguio, flânant en ville, dans les parcs. On y rencontre des gens manifestement plus aisés que dans les campagnes, les classes moyennes venues en vacances pour trouver un peu de fraicheur. Au soir bon concert d’un étonnant groupe rock philippin. L’organisateur, la marque d’alcool Tanduay, organise des jeux pour les jeunes, dont les lots sont des bouteilles d’alcool fort. Ça danse et chante, pas d’agressivité.
Retour en avion encore presque vide à Manille, court séjour au Town House, j’ai un mal fou à démonter le vélo, rouillé par le sel de mer, la pluie et la boue, mais il finit par retrouver sa place dans la valise Samsonite laissée ici.
Retour en France le 3 avril 2007 après plus de deux mois de voyages et 3000km.
Je passe quelques jours à Baguio, flânant en ville, dans les parcs. On y rencontre des gens manifestement plus aisés que dans les campagnes, les classes moyennes venues en vacances pour trouver un peu de fraicheur. Au soir bon concert d’un étonnant groupe rock philippin. L’organisateur, la marque d’alcool Tanduay, organise des jeux pour les jeunes, dont les lots sont des bouteilles d’alcool fort. Ça danse et chante, pas d’agressivité.
Retour en avion encore presque vide à Manille, court séjour au Town House, j’ai un mal fou à démonter le vélo, rouillé par le sel de mer, la pluie et la boue, mais il finit par retrouver sa place dans la valise Samsonite laissée ici.
Retour en France le 3 avril 2007 après plus de deux mois de voyages et 3000km.
