Manille à Batangas
Le Town House hôtel sur Bay Drive, tenu par un couple franco-philippin, me convient bien, car assez proche de l’aéroport international, et de l’aéroport domestique où on peut même aller à pieds ou à vélo, fréquenté par des routards qui se rencontrent facilement dans les parties communes du bâtiment. Les jeunes filles de l’hôtel se font bien draguer, à leur grand plaisir et au grand désarroi des tenanciers, qui doivent remplacer souvent celles parties avec un des clients.
Je pars à vélo en ce jeudi 25 janvier 2007 dès 6h30, rejoignant la toute proche avenue Quirino, et ensuite, c’est tout droit pour le sud. Ça bouchonne déjà sur une quinzaine de kilomètres sur une mauvaise route, et si à vélo, je peux me faufiler entre les files, je n’en respire pas moins ces fumées nocives. J’atteins vite la populeuse Bacoor, puis ça commence à se desserrer un peu, de nombreuses pépinières bordent la route dont l’état s’améliore quand j’arrive à 11h30 vers la Silong Rotonda de l’entrée de Tagaytay.
Je pars à vélo en ce jeudi 25 janvier 2007 dès 6h30, rejoignant la toute proche avenue Quirino, et ensuite, c’est tout droit pour le sud. Ça bouchonne déjà sur une quinzaine de kilomètres sur une mauvaise route, et si à vélo, je peux me faufiler entre les files, je n’en respire pas moins ces fumées nocives. J’atteins vite la populeuse Bacoor, puis ça commence à se desserrer un peu, de nombreuses pépinières bordent la route dont l’état s’améliore quand j’arrive à 11h30 vers la Silong Rotonda de l’entrée de Tagaytay.
Batangas
Du restaurant de l’hôtel View Point, cher et pas bon, je contemple le lac Taal et les montagnes qui l’entourent. Je me balade un peu sur la route de Talisay, avant de rejoindre le domicile de Georges, un belge marié à une Philippines, qui m’accueille pour cette nuit, dans sa belle maison louée 400€ par mois.
Le lendemain, je rejoins Batangas par Lémery, sur une belle route, des gamins déscolarisés vendent des friandises devant des sites touristiques. Jeepneys et camions roulent un peu vite à mon goût et je fais attention. Logé au Traveller’s Inn, que je choisi parce qu’il ne semble pas y avoir ni karaoké ni live music, je me balade dans la petite ville tranquille, avec ses nombreuses écoles, ses petits parcs, les Jolibee, chaine de restauration rapide, le port. Petite pluie fine.
Le Querubin, le ferry reliant Batangas à Puerto Galera sur l’ile de Mindoro, part vers 8h, et arrivé bien plus tôt au port, j’observe l’activité, chargements et déchargements…
Le lendemain, je rejoins Batangas par Lémery, sur une belle route, des gamins déscolarisés vendent des friandises devant des sites touristiques. Jeepneys et camions roulent un peu vite à mon goût et je fais attention. Logé au Traveller’s Inn, que je choisi parce qu’il ne semble pas y avoir ni karaoké ni live music, je me balade dans la petite ville tranquille, avec ses nombreuses écoles, ses petits parcs, les Jolibee, chaine de restauration rapide, le port. Petite pluie fine.
Le Querubin, le ferry reliant Batangas à Puerto Galera sur l’ile de Mindoro, part vers 8h, et arrivé bien plus tôt au port, j’observe l’activité, chargements et déchargements…
sur le ferry pour Puerto-Galera
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