Boracay et Panay
Je veux revoir Boracay, petite ile de 9 km de long, que j’avais découverte en 2000, avec sa plage de sable blanc sacrée plus belle plage du monde, au large de Panay, une ile de l’archipel des Visayas. Sur le bateau en direction de Panay, je rencontre des kyte-surfeurs français écumant les vagues de la région.
Le gros pumpboat longe le sud de l’ile, puis l’ile de Carabao où les plages semblent bien belles aussi, accoste à Boracay, où je ne descends pas maintenant, rejoignant Caticlan sur Panay, pour rouler ensuite jusqu’à Kalibo, où je dois retrouver un ami Philippin, qui m’accompagne jusqu’à Boracay.
La petite ile où de nouveaux hôtels ont été construits (il y en avait déjà 150 en 2000 !), est de plus en plus fréquentée, mais ça reste acceptable. Il y a un marché permanent entre plage et route. On y rencontre beaucoup de Chinois, Taïwanais, Coréens, venus en groupes. 2 jours suffisent bien dans ces conditions, je ne pense pas que j’y retournerai.
Le gros pumpboat longe le sud de l’ile, puis l’ile de Carabao où les plages semblent bien belles aussi, accoste à Boracay, où je ne descends pas maintenant, rejoignant Caticlan sur Panay, pour rouler ensuite jusqu’à Kalibo, où je dois retrouver un ami Philippin, qui m’accompagne jusqu’à Boracay.
La petite ile où de nouveaux hôtels ont été construits (il y en avait déjà 150 en 2000 !), est de plus en plus fréquentée, mais ça reste acceptable. Il y a un marché permanent entre plage et route. On y rencontre beaucoup de Chinois, Taïwanais, Coréens, venus en groupes. 2 jours suffisent bien dans ces conditions, je ne pense pas que j’y retournerai.
plage de Boracay
Retour à Kalibo, d’où je reprends mon voyage solitaire par la côte nord de Panay, plutôt plate avec plusieurs changements de direction au travers de rizières en cours de repiquage, et des lagunes. J’ai des ennuis avec un câble du Rohloff qui se coince dans la gaine à cause de brins rompus.
Après l’embranchement pour Roxas, l’habitat se fait plus rudimentaire, plus pauvre, en bambou et palmes tressées. La ville étendue possède un centre plutôt moderne, vivant, avec ses tricycles à la queue leu-leu, le Capitol Hall en bordure d’un grand rond-point où il y a même un point d’info touristique, donnant des cartes schématiques de la ville et la région. Je trouve une resort simple et calme (casa Felisa) vers le petit port de Culasi, d’où part demain à 7h un pumpboat pour Sibuyan, la troisième ile des Romblon, ça tombe bien.
Dans un des bars en bois sur la longue plage, je sympathise avec des Philippins en goguette, ils veulent à tout prix se faire prendre en photo !
Poulet/riz deux bières pour à peine 2€. Balade sur la plage, les karaokés vont bon train, avec leur lot de canards.
Après l’embranchement pour Roxas, l’habitat se fait plus rudimentaire, plus pauvre, en bambou et palmes tressées. La ville étendue possède un centre plutôt moderne, vivant, avec ses tricycles à la queue leu-leu, le Capitol Hall en bordure d’un grand rond-point où il y a même un point d’info touristique, donnant des cartes schématiques de la ville et la région. Je trouve une resort simple et calme (casa Felisa) vers le petit port de Culasi, d’où part demain à 7h un pumpboat pour Sibuyan, la troisième ile des Romblon, ça tombe bien.
Dans un des bars en bois sur la longue plage, je sympathise avec des Philippins en goguette, ils veulent à tout prix se faire prendre en photo !
Poulet/riz deux bières pour à peine 2€. Balade sur la plage, les karaokés vont bon train, avec leur lot de canards.
pècheurs de Roxas, Panay
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