Mountain Province:Bontoc
Je rentre alors que des enfants barbotent dans la rivière se souciant peu du fort courant. Je décline l’offre des jeunes filles de participer au karaoké. Ouf, coupure de courant et j’ai la paix. Au lit à 19h30! Lecture. Pour 3 nuits, 4 repas, 3 petits déjeuners, et 7 ou 8 bières, mon addition se monte à 17€.
Je pars à vélo à Bontoc sur cette piste au-dessus de la rivière et des rizières, qui n’arrête pas de monter et descendre. Dans les villages, je suis suivi par des gamins à vélo ou en kart bricolé en bois.
Des ouvriers réparent la piste effondrée par endroit par des glissements de terrain. Ils campent au bord et travaillent même le dimanche.
Quelques kilomètres avant Bontoc, des jeunes jouant au basket m’arrêtent, me proposent de me reposer, m’offrent coca et patates douces, et on discute un bon moment, notamment sur le manque de travail pour les jeunes. Ils sont étonnés que j’aie traversé le pays Kalinga sans problème.
Je pars à vélo à Bontoc sur cette piste au-dessus de la rivière et des rizières, qui n’arrête pas de monter et descendre. Dans les villages, je suis suivi par des gamins à vélo ou en kart bricolé en bois.
Des ouvriers réparent la piste effondrée par endroit par des glissements de terrain. Ils campent au bord et travaillent même le dimanche.
Quelques kilomètres avant Bontoc, des jeunes jouant au basket m’arrêtent, me proposent de me reposer, m’offrent coca et patates douces, et on discute un bon moment, notamment sur le manque de travail pour les jeunes. Ils sont étonnés que j’aie traversé le pays Kalinga sans problème.
Ils m’invitent pour le déjeuner qui prend un temps fou à être préparé. Ç’est à cause du vieux canard récalcitrant à cuire, et qui fait un peu caoutchouteux sous la dent. Ils boivent la soupe dans le même bol qui tourne. Je passe mon tour. Photos et échange d’adresses. Ils m’invitent pour la fête du 7 avril à Bontoc, mais je serai parti.
J’arrive dans les faubourgs de Bontoc, capitale de la province des montagnes, de part et d’autre de la rivière Chico très basse. C’est bien aussi une ville philippine avec ses jeepneys et tricycles, mais elle est plus aérée, avec un grand parc où ça joue au basket, au tennis, ou ça danse. Au Churia Inn où je loge, je revois Francis le guide qui tente de racoler d’autres clients à guider. J’erre dans la ville à l’atmosphère conviviale. La rivière sert de pont de lavage pour bus et camions. Un type arrête son tricycle sur le pont et balance ses poubelles dans la rivière.
J’arrive dans les faubourgs de Bontoc, capitale de la province des montagnes, de part et d’autre de la rivière Chico très basse. C’est bien aussi une ville philippine avec ses jeepneys et tricycles, mais elle est plus aérée, avec un grand parc où ça joue au basket, au tennis, ou ça danse. Au Churia Inn où je loge, je revois Francis le guide qui tente de racoler d’autres clients à guider. J’erre dans la ville à l’atmosphère conviviale. La rivière sert de pont de lavage pour bus et camions. Un type arrête son tricycle sur le pont et balance ses poubelles dans la rivière.
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