La route de Chilaw à Kurunegala n’est pas très bonne, première crevaison. Logé à la rest-house au bord du réservoir, j’y reste deux nuits. Je grimpe par l’immense roche jusqu’au bouddha géant qui domine la ville et les environs. J’erre dans la ville. Les bus sont pris d’assaut par les écoliers et étudiants bien agités, tous en blanc. Les milliers d’étourneaux prennent le soir possessions des grands arbres dans un grand vacarme. Une route fait le tour du lac, quelques guest-houses tranquilles s’y sont installées.
Pour rejoindre Avissawella par Kegalle, je rencontre un peu de relief, notamment du côté de Kegalle. Encore une guest-house, comme souvent avec d’immenses chambres rafraîchies par un ventilo au plafond. J’aime me balader du côté de la grande station de bus avec ses arcades commerçantes, et observer les comportements des uns et des autres, indifférents à ma présence. La grande pâtisserie en face est toujours bondée.
Pour rejoindre Avissawella par Kegalle, je rencontre un peu de relief, notamment du côté de Kegalle. Encore une guest-house, comme souvent avec d’immenses chambres rafraîchies par un ventilo au plafond. J’aime me balader du côté de la grande station de bus avec ses arcades commerçantes, et observer les comportements des uns et des autres, indifférents à ma présence. La grande pâtisserie en face est toujours bondée.
station de bus de Kurunegala
Le lendemain, je parcours vite les 35 km me séparant de Kuruwita une dizaine de km avant Ratnapura la cité des pierres précieuses, pour rejoindre par une petite route bien agréable si des gamins à pierres ne s’y trouvent pas, la belle cascade de Bopath. Je prends une chambre au nouvel hôtel, un peu chère à 2500 roupies mais avec vue sur la cascade.
Puis baignade en compagnie des familles locales venues pique-niquer, ou de groupes de jeunes, parfois un peu alcoolisés, et se cachant à peine pour fumer des joints. Certains plongent d’une plateforme rocheuse, risquant à chaque fois de se fracasser la tête sur un rocher. Le site a été réaménagé, nettoyé, des toilettes ont été construites, et malgré la présence de poubelles, beaucoup laissent encore trainer leurs cartons de pique-nique. Le site se vide à la nuit tombée.
Puis baignade en compagnie des familles locales venues pique-niquer, ou de groupes de jeunes, parfois un peu alcoolisés, et se cachant à peine pour fumer des joints. Certains plongent d’une plateforme rocheuse, risquant à chaque fois de se fracasser la tête sur un rocher. Le site a été réaménagé, nettoyé, des toilettes ont été construites, et malgré la présence de poubelles, beaucoup laissent encore trainer leurs cartons de pique-nique. Le site se vide à la nuit tombée.
bouddha géant de Kurunegala
