Je rejoins la côte sud à Matara, la route descend le plus souvent mais je suis un peu secoué par les nombreux trous. Et je longe la côte plein est pour rejoindre Tangalle après une belle chevauchée de 120 km. Ce village de pêcheurs a beaucoup souffert du Tsunami, beaucoup de gens dont j’avais fait la connaissance quelques années avant ont disparus. La guest-house de Ganesh Garden, en bout de la longue plage de Medaketiya, littéralement balayée par la vague géante, a été reconstruite à l’identique, avec ses superbes bungalow de rondins. Oubliée la règle d’interdiction de toute construction dans la zone des 200m !
La route de Matara à Galle a été refaite. Beaucoup de maisons en ruine la bordent. Petite visite à Unawatuna, belle baie, plantée de nombreux hôtels, trop serrés à mon goût, et après une visite à Jayantha, un cuisinier que j’ai rencontré à Négombo, je rejoins Galle et le vieux Kodikara qui gère toujours sa guest-house en bord de remparts. Tout le secteur du fort et de ses remparts a été inscrit au patrimoine de l’Unesco. J’aime m’y balader dans les petites rues. Certaines maisons cossues abritent des bijouteries ou musées ou guest-houses. D’autres quartiers sont habités par des familles modestes, comme aux alentours de la mosquée. Des étrangers souvent Anglais achètent des maisons à retaper, faisant monter les prix de l’immobilier. En fin d’après-midi, les remparts se peuplent de jeunes venus discuter et fumer, de familles. Au loin au soleil couchant passent des cargos, et plus tard encore, on distingue les petits feux des bateaux de pèches au large. Chez Kodikara, il ne faut pas rentrer trop tard, sinon, on trouve porte close.
La route de Matara à Galle a été refaite. Beaucoup de maisons en ruine la bordent. Petite visite à Unawatuna, belle baie, plantée de nombreux hôtels, trop serrés à mon goût, et après une visite à Jayantha, un cuisinier que j’ai rencontré à Négombo, je rejoins Galle et le vieux Kodikara qui gère toujours sa guest-house en bord de remparts. Tout le secteur du fort et de ses remparts a été inscrit au patrimoine de l’Unesco. J’aime m’y balader dans les petites rues. Certaines maisons cossues abritent des bijouteries ou musées ou guest-houses. D’autres quartiers sont habités par des familles modestes, comme aux alentours de la mosquée. Des étrangers souvent Anglais achètent des maisons à retaper, faisant monter les prix de l’immobilier. En fin d’après-midi, les remparts se peuplent de jeunes venus discuter et fumer, de familles. Au loin au soleil couchant passent des cargos, et plus tard encore, on distingue les petits feux des bateaux de pèches au large. Chez Kodikara, il ne faut pas rentrer trop tard, sinon, on trouve porte close.
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