L’ouest : de La Havane à Playa Larga
J’arrive de nuit à l’aéroport de La Havane, le vélo bien protégé plié dans sa valise, que j’ai bien du mal à récupérer tant c’est la bousculade avec l’arrivée de deux avions dans une structure pas adaptée. Ça me permet d’éviter la fouille, j’avais peur qu’on me confisque tente et réchaud puisqu’il est interdit de camper sur l’ile.
Arrivé de nuit, et avec la valise, je dois prendre un taxi que je paie 25 cuc (j’ai changé 700 € à 1,11 cuc/€, pas terrible !), dont 5 cuc de commission pour le type qui l’a appelé pour moi. J’ai préféré l’hôtel Deauville sur le Malécon à une casa particular, difficile à réserver avec certitude de France, à cause en partie de touristes qui réservent et ne se présentent pas. Je me couche à 6h du matin, heure française (1h à Cuba).
J’arrive de nuit à l’aéroport de La Havane, le vélo bien protégé plié dans sa valise, que j’ai bien du mal à récupérer tant c’est la bousculade avec l’arrivée de deux avions dans une structure pas adaptée. Ça me permet d’éviter la fouille, j’avais peur qu’on me confisque tente et réchaud puisqu’il est interdit de camper sur l’ile.
Arrivé de nuit, et avec la valise, je dois prendre un taxi que je paie 25 cuc (j’ai changé 700 € à 1,11 cuc/€, pas terrible !), dont 5 cuc de commission pour le type qui l’a appelé pour moi. J’ai préféré l’hôtel Deauville sur le Malécon à une casa particular, difficile à réserver avec certitude de France, à cause en partie de touristes qui réservent et ne se présentent pas. Je me couche à 6h du matin, heure française (1h à Cuba).
Le lendemain, je remonte le vélo, l’essaye sur le Malecon, et me balade à pieds dans le centre, découvrant les cafétérias bon marché où on peut payer en pesos, par exemple un plat de spaghettis pour 10 pesos=0,40€, qu’on mange assis sur le trottoir, en compagnie des Cubains qui bavardent.
Toute la ville semble en rénovation avec des travaux un peu partout, les vieilles voitures américaines sont bien là.
Je laisse la valise dans une casa particular que j’ai réservée et payée pour mon retour en avril. Abel le propriétaire m’explique comment sortir à vélo de La Havane. A l’entendre, ça a l’air facile !
Le lendemain samedi 24 février 2009, je pars direction nord par le Malecon, après un petit déjeuner pantagruélique.
Toute la ville semble en rénovation avec des travaux un peu partout, les vieilles voitures américaines sont bien là.
Je laisse la valise dans une casa particular que j’ai réservée et payée pour mon retour en avril. Abel le propriétaire m’explique comment sortir à vélo de La Havane. A l’entendre, ça a l’air facile !
Le lendemain samedi 24 février 2009, je pars direction nord par le Malecon, après un petit déjeuner pantagruélique.
Je trouve facilement la septima puis la tercera, mais ensuite ça se complique et il me faudra 1h30 et 25 km pour enfin trouver la autopista. A Cuba, on peut rouler à vélo sur l’autoroute, quasi déserte ! Elle évite les villages et il me faudra 55 km pour atteindre un campismo où je peux boire et trouver de l’eau.
