Moa
Yumuri
Caibarien
Playa Giron
Vinales
Pilon
Cuba à vélo 21 février au 8 avril 2009:3518 km
Après une arrivée un peu désordonnée à l'aéroport de La Havane, un court séjour dans la ville, je la quitte à vélo pour l'ouest, qui s'avèrera la partie la plus sympathique.
Rouler à vélo sur une autoroute quasi déserte donne une drôle de sensation. La température reste étonnement fraiche. Je visite Soroa, les plages du nord secouées par la tempête de 2008, Viñalès, Izabel Rubio, puis je prends direction est, alterrnant les nuits en casas particulares et les nuits sous tente dans des bosquets d'épineux ou des champs de canne à sucre. Je rejoins La Havane en longeant la côte nord.
Peu de circulation, des routes tranquilles, une grande sécurité, des paysages qui n'ont rien d'exceptionnel, une exposition permanente de véhicules 2 à 4 roues voire plus dignes d'un musée, l'ingéniosité des Cubains pour les faire rouler, la musique, la danse, les villes coloniales, des gens qui m'ont paru un peu froid avec moi sauf quelques exceptions (Soroa, Vinalès...), d'étonnants slogans accusant le monde occidental de leurs soucis, une fierté bien légitime de leur révolution, marqueront surtout mon esprit.
Rouler à vélo sur une autoroute quasi déserte donne une drôle de sensation. La température reste étonnement fraiche. Je visite Soroa, les plages du nord secouées par la tempête de 2008, Viñalès, Izabel Rubio, puis je prends direction est, alterrnant les nuits en casas particulares et les nuits sous tente dans des bosquets d'épineux ou des champs de canne à sucre. Je rejoins La Havane en longeant la côte nord.
Peu de circulation, des routes tranquilles, une grande sécurité, des paysages qui n'ont rien d'exceptionnel, une exposition permanente de véhicules 2 à 4 roues voire plus dignes d'un musée, l'ingéniosité des Cubains pour les faire rouler, la musique, la danse, les villes coloniales, des gens qui m'ont paru un peu froid avec moi sauf quelques exceptions (Soroa, Vinalès...), d'étonnants slogans accusant le monde occidental de leurs soucis, une fierté bien légitime de leur révolution, marqueront surtout mon esprit.
