Alerté par de nombreuses pancartes annonçant un site appelé Vailankanni à une dizaine de kilomètres plus au sud, je m’y rends et y découvre une toute nouvelle et impressionnante basilique, blanche comme de nombreuses églises du même style formant un grand ensemble visité par des milliers de touristes indiens, logeant dans les lodges et hôtels neufs construits récemment à proximité. Quelques pèlerins parcourent à genoux le chemin de croix sableux. Les pèlerins se promènent aussi sur la plage, par groupe, se baignant parfois tout habillés. Le tsunami de 2004 avait tout rasé et tué des milliers de pèlerins. Le site date du milieu du XVIème siècle suite à des miracles comme l’apparition de la vierge Marie à un jeune berger.
Un peu plus au nord, le village de pécheurs de Tranquebar porte encore les stigmates du tsunami, mais les pécheurs ont repris leurs activités offrant un spectacle touchant au départ des bateaux avant le coucher de soleil.
Un peu plus au nord, le village de pécheurs de Tranquebar porte encore les stigmates du tsunami, mais les pécheurs ont repris leurs activités offrant un spectacle touchant au départ des bateaux avant le coucher de soleil.
Courte halte à Chidambaram, dans l’enceinte immense du temple hindou en activité, avec un des plus grands bassins sacrés de l’Inde, de nombreux gopuram, puis je rejoins Pondichéry bien connue des Français et habitées par de nombreux concitoyens. La ville « s’indianise » de plus en plus, se développant bien au-delà des quartiers historiques. Le dimanche, MG road se transforme en grand bazar très populaire.
Après un petit détour à Gingee et sa forteresse étalée sur des kilomètres en haut de collines, qu’on escalade par des sentiers tantôt sauvages, tantôt en escaliers, surveillés par les singes, et des fonctionnaires parmi les plus antipathiques que j’ai jamais vus en Inde, je rejoins par la côte Mamallapuram. Sa proximité de Chennai et de son aéroport situé au sud, des hébergements nombreux, confortables, au bon rapport qualité/prix, en fait une étape bien agréable, avec ses nombreux monuments remarquables : les 5 Rathas, ensemble de temples tous sculptés dans une seule pièce de granit, l’Arjuna Penance, grand mur de bas-reliefs juste en bord de route et d’un grand parc comprenant un ensemble de grottes, temples, d’immenses blocs rocheux, le temple du rivage juste en bord de mer…Et les nombreux tailleurs de pierre dont les coups de burins rythment les promenades.
Après ces 4500 km au sud de l’Inde, et un nouveau séjour à Chennai la polluée, je m’envole pour le Sri Lanka.
Après un petit détour à Gingee et sa forteresse étalée sur des kilomètres en haut de collines, qu’on escalade par des sentiers tantôt sauvages, tantôt en escaliers, surveillés par les singes, et des fonctionnaires parmi les plus antipathiques que j’ai jamais vus en Inde, je rejoins par la côte Mamallapuram. Sa proximité de Chennai et de son aéroport situé au sud, des hébergements nombreux, confortables, au bon rapport qualité/prix, en fait une étape bien agréable, avec ses nombreux monuments remarquables : les 5 Rathas, ensemble de temples tous sculptés dans une seule pièce de granit, l’Arjuna Penance, grand mur de bas-reliefs juste en bord de route et d’un grand parc comprenant un ensemble de grottes, temples, d’immenses blocs rocheux, le temple du rivage juste en bord de mer…Et les nombreux tailleurs de pierre dont les coups de burins rythment les promenades.
Après ces 4500 km au sud de l’Inde, et un nouveau séjour à Chennai la polluée, je m’envole pour le Sri Lanka.
