Sri Lanka: oct 2002 :1500 km à vélo dont côte est, 20 fev au 14 avril 2005: vélo, moto et bus, déc 2010:1000 km à vélo
J’avais terminé mon périple à vélo de 34 mois en Asie par le Sri Lanka au printemps 2001.
Très secoué par la guerre civile qui laisse de nombreuses familles déchirées par la perte d’êtres chers, des attentats, une situation économique délicate, j’avais trouvé les gens pas très accueillants. J’ai surtout visité les anciennes cités royales, Polonnaruwa, Anuradhapura, Sigiriya, et leurs environs, la zone montagneuse, Kandy, Nuwara Eliya, les plantations de thé d’Haputale, les plages du sud, pour regagner Negombo près de Colombo par Ratnapura, la ville des pierres précieuses.
Je n’avais pas très envie d’y retourner. En juillet 2001, les tigres Tamouls attaquent l’aéroport de Colombo, faisant dramatiquement chuter le nombre de touristes visitant le pays.
Du coup pour les faire revenir, Sri Lankan Airlines notamment, a cassé ses prix, et en octobre 2002, alors qu’un cessez le feu venait d’être signé entre les belligérants, me revoici pour un mois au Sri Lanka. Cette fois j’y ai fait beaucoup de connaissances. Grâce au cessez le feu, j’ai pu rouler dans l’est du pays de Trincomalee à Pottuvil. Ponts, hôtels, ont été détruits, j’étais pratiquement seul sur la piste, traversant une zone très pauvre, contrôlée plus ou moins par les militaires. Je rejoindrai ensuite les plages du sud, et un peu de montagne.
En 2005, je ne ferai qu’un petit circuit à vélo dans le sud-ouest, et j’emmènerai des amis Sri Lankais tantôt en van, tantôt à moto, tantôt en bus, visiter les cités royales, Kandy, Horton Plains…Ils voient défiler les touristes qui vont presque partout dans leur pays, alors qu’eux ont rarement les moyens d’y voyager.
Je reviens à nouveau en octobre 2012, pour entre autres, passer dans les Knuckles, à Mahiyangana, et refaire en période de paix la route Batticaloa Trincomalee.
Très secoué par la guerre civile qui laisse de nombreuses familles déchirées par la perte d’êtres chers, des attentats, une situation économique délicate, j’avais trouvé les gens pas très accueillants. J’ai surtout visité les anciennes cités royales, Polonnaruwa, Anuradhapura, Sigiriya, et leurs environs, la zone montagneuse, Kandy, Nuwara Eliya, les plantations de thé d’Haputale, les plages du sud, pour regagner Negombo près de Colombo par Ratnapura, la ville des pierres précieuses.
Je n’avais pas très envie d’y retourner. En juillet 2001, les tigres Tamouls attaquent l’aéroport de Colombo, faisant dramatiquement chuter le nombre de touristes visitant le pays.
Du coup pour les faire revenir, Sri Lankan Airlines notamment, a cassé ses prix, et en octobre 2002, alors qu’un cessez le feu venait d’être signé entre les belligérants, me revoici pour un mois au Sri Lanka. Cette fois j’y ai fait beaucoup de connaissances. Grâce au cessez le feu, j’ai pu rouler dans l’est du pays de Trincomalee à Pottuvil. Ponts, hôtels, ont été détruits, j’étais pratiquement seul sur la piste, traversant une zone très pauvre, contrôlée plus ou moins par les militaires. Je rejoindrai ensuite les plages du sud, et un peu de montagne.
En 2005, je ne ferai qu’un petit circuit à vélo dans le sud-ouest, et j’emmènerai des amis Sri Lankais tantôt en van, tantôt à moto, tantôt en bus, visiter les cités royales, Kandy, Horton Plains…Ils voient défiler les touristes qui vont presque partout dans leur pays, alors qu’eux ont rarement les moyens d’y voyager.
Je reviens à nouveau en octobre 2012, pour entre autres, passer dans les Knuckles, à Mahiyangana, et refaire en période de paix la route Batticaloa Trincomalee.
