La Thailande se montre de suite beaucoup plus développée et au niveau de vie bien au-dessus. Belles routes, une signalisation bilingue, Khmère et Anglais, des magasins partout et bien achalandés, comme les fameux seven/eleven où on peut se ravitailler, manger, boire, acheter des cartes locales…Pénétrer à vélo dans Bangkok, par d’immenses boulevards, des voies rapides au trafic dense, est une belle épreuve. Une fois installé, ça va, de nombreux Occidentaux fréquentent la ville, certains y vivent, il faut juste faire attention à quelques arnaques, qui peuvent venir aussi des Occidentaux.
Je repars sur le nord, à Chiangmai, je me décide à bricoler le vélo, mais comme je ne suis pas très doué, ça ne se passe pas très bien et je devrai aller voir un vélociste local ! Je participe à une semaine de randonnée entre des villages karens, tantôt à pieds, tantôt à dos d’éléphants, tantôt en radeaux. Les organisateurs s’efforcent de participer à l’économie locale, les guides viennent des villages, on mange et dort chez l’habitant. Je passe Noël à Chiang Rai, avant de rejoindre la frontière laotienne.
offrande à Bouddha
famille thai au marché de nuit