Je fais à vélo un demi-tour de l’ile de Cebu par le sud, dormant dans des bungalows en bord de mer, sous les grands arbres ombrageux équipés de hamacs. De Toledo à l’ouest, un petit ferry atteint l’ile de Negros, un peu plus grande, habitée par beaucoup de Négros, descendant d’immigrés amenés pour la culture de la canne à sucre, la ressource principale de l’Ile, des gens d'une grande douceur, accueillants et paisibles.
Demi-tour ici aussi par le sud avant, de Bacolod, une ville très calme aux taxis tricycles, de rejoindre par un autre ferry, l’ile de Panay, à la forme triangulaire. J’aime beaucoup errer dans sa capitale Ilo Ilo, d’où partent de longues bancas/bus pour des ilots environnants habités. Je me balade sur la petite ile sauvage de Guimarães, en compagnie de vttistes locaux, avant de repartir longer la côte sud et ouest par une route bien tranquille, rejoindre Caticlan au nord, d’où des bancas traversent pour l’ile de Boracay, très fréquentée, à la longue plage de sable blanc déclarée récemment la plus belle du monde.
Je termine le tour de Panay par la côte est, m’arrêtant dans des villages de bord de mer aux enfants facétieux et plongeurs, qui se collent en groupes devant l’appareil photo dans une joyeuse bousculade.
A Palawan, je prends la piste qui mène de Puerto Princessa à El Nido. Fantastique aventure sur une piste parfois boueuse, et une arrivée avec vue sur la magnifique baie d’El Nido, ses ilots et ses lagons qu’on peut parcourir en banca, ou manger des calamars grillés sur une plage déserte, admirer les poissons volants, les dauphins, et nager en compagnie d’une tortue.
Demi-tour ici aussi par le sud avant, de Bacolod, une ville très calme aux taxis tricycles, de rejoindre par un autre ferry, l’ile de Panay, à la forme triangulaire. J’aime beaucoup errer dans sa capitale Ilo Ilo, d’où partent de longues bancas/bus pour des ilots environnants habités. Je me balade sur la petite ile sauvage de Guimarães, en compagnie de vttistes locaux, avant de repartir longer la côte sud et ouest par une route bien tranquille, rejoindre Caticlan au nord, d’où des bancas traversent pour l’ile de Boracay, très fréquentée, à la longue plage de sable blanc déclarée récemment la plus belle du monde.
Je termine le tour de Panay par la côte est, m’arrêtant dans des villages de bord de mer aux enfants facétieux et plongeurs, qui se collent en groupes devant l’appareil photo dans une joyeuse bousculade.
A Palawan, je prends la piste qui mène de Puerto Princessa à El Nido. Fantastique aventure sur une piste parfois boueuse, et une arrivée avec vue sur la magnifique baie d’El Nido, ses ilots et ses lagons qu’on peut parcourir en banca, ou manger des calamars grillés sur une plage déserte, admirer les poissons volants, les dauphins, et nager en compagnie d’une tortue.
Ce serait un paradis s’il n’y avait les niqueniques, petites mouches des sables voraces laissant de grosses cloques rouges sur les mollets des touristes.Puis je roule le long des côtes nord de Negros, de Cebu, avec un petit séjour sur la magnifique et encore tranquille ile de Malapascua, sans route et sans moteurs, …et encore et encore des iles, la sanctuaire marin d’Apo, au sud de Negros, Bohol, ses tarsiers et ses Chocolates Hills, un séjour chez l’habitant dans la petite ile sans voiture non plus de Présidente Garcia au nord de Bohol, avec balades à la rame dans les mangroves, snorkeling dans les récifs coralliens déjà amochés par les pécheurs et les typhons, Panglao attirant des plongeurs occidentaux, Siquijor, l’ile aux sorciers…On me demande plusieurs fois en mariage, mais pour l’instant, je voyage…
