Retour au Vietnam du 15 oct au 7 nov 2010
Solo/Djakarta/Bangkok en avion. A Bangkok, énervé par les prix trop élevés demandés par les chauffeurs de taxi, j’ai l’idée délirante de rejoindre la ville à vélo, à 40 kilomètres, de nuit !! Sur la voie rapide, sans casque, je suis secoué par les courants d’air des voitures, bus, camions, roulant à vive allure.
Après une visite de Sukhôtai et de ses temples, je profite d’un billet gratuit pour passer un nouveau mois au Vietnam, laissant le vélo à Bangkok. Ça m’agace à nouveau d’avoir affaire à ces Vietnamiens voraces, rapaces, qui nous prennent pour des pigeons ! Je passe ce mois à visiter en compagnie de Suédois et en jeep les minorités ethniques du nord-ouest, très frustré de ne pas y être à vélo, et malgré de superbes paysages et marchés locaux, un peu dégoutté par ce que j’y vois, comme ces distributions de bonbons par les touristes à des pauvres enfants aux dents déjà bien attaquées, l’exploitation des locaux, les minorités ethniques comme on les appelle, gentils et encore naïfs, par les Vietnamiens, qui se disent le peuple roi et les considèrent comme des sous-hommes.
Je loue ensuite un vélo pour me balader dans les environs d’Hanoi, vélo qu’un cireur de chaussures à qui je l’avais naïvement prêté, va me voler et que je devrai rembourser au prix d’un neuf au loueur.
J’aurais pu le racheter pas cher au très connu marché aux voleurs dans les environs de la ville, mais je n’avais plus le temps d’y aller. Et pas question de compter sur les policiers, trop contents que je me le sois fait voler par un de leurs compatriotes.
Retour à Bangkok, puis avion à nouveau, cette fois pour la Birmanie, où on ne peut toujours pas entrer, ni sortir, par voie terrestre.
Après une visite de Sukhôtai et de ses temples, je profite d’un billet gratuit pour passer un nouveau mois au Vietnam, laissant le vélo à Bangkok. Ça m’agace à nouveau d’avoir affaire à ces Vietnamiens voraces, rapaces, qui nous prennent pour des pigeons ! Je passe ce mois à visiter en compagnie de Suédois et en jeep les minorités ethniques du nord-ouest, très frustré de ne pas y être à vélo, et malgré de superbes paysages et marchés locaux, un peu dégoutté par ce que j’y vois, comme ces distributions de bonbons par les touristes à des pauvres enfants aux dents déjà bien attaquées, l’exploitation des locaux, les minorités ethniques comme on les appelle, gentils et encore naïfs, par les Vietnamiens, qui se disent le peuple roi et les considèrent comme des sous-hommes.
Je loue ensuite un vélo pour me balader dans les environs d’Hanoi, vélo qu’un cireur de chaussures à qui je l’avais naïvement prêté, va me voler et que je devrai rembourser au prix d’un neuf au loueur.
J’aurais pu le racheter pas cher au très connu marché aux voleurs dans les environs de la ville, mais je n’avais plus le temps d’y aller. Et pas question de compter sur les policiers, trop contents que je me le sois fait voler par un de leurs compatriotes.
Retour à Bangkok, puis avion à nouveau, cette fois pour la Birmanie, où on ne peut toujours pas entrer, ni sortir, par voie terrestre.
marché de Can Thô
