8)Darjeeling à Katmandu :796km
La ville s’est gonflée de touristes depuis un mois. En me baladant, je me fais attaquer par une bande de singes, l’un me chopant le pantalon, heureusement des passants m’ont aidé.
Après un nouveau petit séjour urbain bien agréable, je reprends le vélo, rejoins la trépidante Ghoom d’où cette fois, je me dirige sur Mirik vers la frontière népalaise. Cette petite ville n’est qu’à 1300m, Ghoom à 2200m, mais je ne fais que monter et descendre. Soleil, belle route de crête le long de la frontière dans une forêt de sapins, de superbes coins pour camper mais les militaires sont partout. Je passe Sukkhia, ville commerçante, puis de beaux villages, comme Simana.
Après un nouveau petit séjour urbain bien agréable, je reprends le vélo, rejoins la trépidante Ghoom d’où cette fois, je me dirige sur Mirik vers la frontière népalaise. Cette petite ville n’est qu’à 1300m, Ghoom à 2200m, mais je ne fais que monter et descendre. Soleil, belle route de crête le long de la frontière dans une forêt de sapins, de superbes coins pour camper mais les militaires sont partout. Je passe Sukkhia, ville commerçante, puis de beaux villages, comme Simana.
J’arrive dans les plantations de thé recouvrant les collines.
Les cueilleuses se reposent en bord de route. C’est vraiment beau, et Mirik, belle petite ville ne dépare pas, avec son grand lac dont on peut faire le tour à pieds, d’un côté le long des maisons, de l’autre le long de la forêt. J’y rencontre des groupes d’écoliers adorant faire les clowns devant l’appareil.
Un chemin de pierres mène au monastère/institut, où les robes rouges sèchent sur les pelouses. Les moinillons bien agités sortent de cours. Ils m’ouvrent la porte du temple, qui abrite de très fines sculptures en paraffine.
Le lendemain 8 avril, je rentre au Népal. Je rejoins la plaine par une longue descente souvent en forêt, la température augmente au fil des kilomètres et je sue en entrant à Dudhya au bord de la large rivière presque à sec.
Les cueilleuses se reposent en bord de route. C’est vraiment beau, et Mirik, belle petite ville ne dépare pas, avec son grand lac dont on peut faire le tour à pieds, d’un côté le long des maisons, de l’autre le long de la forêt. J’y rencontre des groupes d’écoliers adorant faire les clowns devant l’appareil.
Un chemin de pierres mène au monastère/institut, où les robes rouges sèchent sur les pelouses. Les moinillons bien agités sortent de cours. Ils m’ouvrent la porte du temple, qui abrite de très fines sculptures en paraffine.
Le lendemain 8 avril, je rentre au Népal. Je rejoins la plaine par une longue descente souvent en forêt, la température augmente au fil des kilomètres et je sue en entrant à Dudhya au bord de la large rivière presque à sec.
Mirik
